Bien sur, mon billet sur "Le français interdit sur les téléphones portables au Canada anglais" était un poisson d'avril. Aucun politicien canadien anglais, aussi red neck puisse t-il être, ne pourrait suggérer une telle chose ; se serait un suicide politique. Et surtout un non sens car les francophones du Québec pourraient exiger la même chose pour l'anglais ; on imagine facilement l'anarchie - et les excès de toutes sortes - qu'une telle mesure pourrait créer, d'un coté comme de l'autre.
4 commentaires:
Pour nous francophones cela commence à exister ce radiscalisme de "certains" (out de même de plus en plus nombreux) néerlandophones : dans une ville la commune avait instauré une "loi" qui obligeait la personne qui voulait acheter un terrain dans cette commun à parler le néerlandais (décision cassée par l'Europe)!
>à parler le néerlandais
j'aime bien lire sur l'actualité européenne et il me semble que depuis près d'un an, les tensions linguistiques en Belgique sont plus fortes que jamais.
Ici, es tensions linguistiques sont en baisses, pour faire place à l'indifférence : on s'ignore, tout simplement.
Ha zut! J'ai envoyé une lettre d'opinion aux journaux ontariens hier.
hihi quand même pas. C'était un peu trop gros lolol
Amusant petit poissons.
Ta lettre était en anglais j'espère ;-)
Publier un commentaire