samedi 5 juin 2010

Compte de mots - 05 Juin




Poirot joue le jeu.

C’est un Poirot vieillissant qui accepte de «jouer le jeu». Vieillissant et décevant je dirais ; il perd la mémoire, voit quelque chose mais n’arrive plus a faire de liens. Bref, la vieillesse, Poirot ne la vie pas très bien. Pire :il n’arrive à résoudre le double meurtres (qui s’avère être un triple meurtres) que plusieurs mois après les faits. Bref, je n’ai pas pris de réel plaisir à lire cette enquête policière car le détective Belge le plus connu de la planète est trop en arrière scène, l’histoire inintéressante et le livres truffés de fautes. Des exemples ? en voici deux :
à la page 117, il faut lire le mot «possible», pas «impossible» ;
à la page 191, il faut lire le mot «oui», pas «qui».
Etc. De plus, c’est la première fois que l’on désigne Poirot comme un criminologiste (et ça revient à répétition dans le roman) ; il y a une différence entre un criminologiste et un détective privé (ce qu’est Hercule Poirot dans les faits). Une traduction à oublier donc, tout comme l’histoire...


Agatha Christie
«Poirot joue le jeu»
Titre original : Dead Man’s folly
Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Miriam Dou
Club des masques, no. 184
251 pages. 1973, pas de ISBN
CCR : 121.p/CHR

Acquisition - 05 Juin




J'avais entre les mains 21,15 $ de coupons-rabais de la librairie Raffin. Et comme par hasard (comme si ça existait) je devais justement faire un détour près de chez Raffin. J'ai donc poussé la porte, sans trop savoir ce que j'allais acheter. J'avais pas fait cinq pas dans la librairie (bon, mettons dix) que je tombais (boum !) devant le seul exemplaire restant de «Dans sa bulle» de Suzanne Myre. Je savais même pas qu'elle avait publié un nouvel opus ! J'ai donc pas cherché plus loin et je me suis emparé de l'unique exemplaire restant et je me suis dirigé vers la caisse. J'ai toujours aimé les univers de Suzanne Myre. Oui, les univers. Rare chez un écrivain ou une écrivaine de retrouver des univers non pas parallèles, mais multiples et uniques tout à la fois. C'est une des forces de Suzanne Myre. Je sens que je vais aimer son nouvel opus. Et cette fois-ci, c'est 413 pages de bonheur qui m'attendent.


Suzanne Myre
«Dans sa bulle»
Éditions Marchand de feuilles
29,95 $

vendredi 4 juin 2010

Saga - 04 Juin



Source de la photo.

Suite de la saga - un homme sans carte (d'assurance maladie)

S'cusez le silence, mais la saga de l'obtention de ma carte d'assurance maladie se poursuit de plus belle (bref topo pour ceux qui seraient nouveaux ici un peu plus bas) : ma demande a été rejeté. Pourtant, tout semblait bien fonctionner. La fille des ressources humaines m'avait fait une bien belle lettre expliquant que je n'étais pas un employé mais un pigiste (en fait, employé de 2000 à 2005 et depuis, pigiste à plein temps). Mais voilà, aux yeux de la RAMQ, un pigiste ça vaut que dalle. Voici la réponse de la RAMQ reçu par courrier :

«La lettre de l'employeur ne spécifie pas que vous êtes à l'emploi de la compagnie ; vous fournissez des services.»

Alors c'est là que j'en suis. Déjà que parfois, comme pigiste, on se sens pas «dans le coup», imaginez lorsque la confirmation vous vient de l'appareil gouvernemental.

J'arrive même pas à être en tab.... ; si j'ai vécu seize ans sans papier d'identité (car au Québec, cette carte fait office de carte d'identité), ben je vais sans doute passer le reste de ma vie sans, voilà tout. Vous ai-je dit que je viens de lire quelques bons livres ? Non ! Alors je vais devoir m'y mettre et écrire quelques billets sur le sujet.


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* bref topo : je n'ai plus de carte d'assurance maladie depuis seize ans maintenant, dû à la maladresse de quelques fonctionnaires. Mes nombreuses tentatives pour renouveler ma carte au cours des dernières années se sont toutes avérées vaines. Je tente depuis quelques mois, encore une fois, de renouveler ma carte d'assurance maladie...

lundi 31 mai 2010

Photo - 31 Mai



Photo de l'auteur.

Petite visite au Jardin Botanique de Montréal samedi. J'ai fais quelques photos dans les jardins de Chine avec mon nouvel objectif. Je regrette pas un seul instant la somme que j'ai dû investir pour acquérir cet objectif. Prochaine sortie - si il fait beau : l'île Bizard* (je n'y ai jamais mis les pieds).






* C'est bien Bizard, pas Bizarre : Le 24 octobre 1678, le gouvernement Frontenac accorda l'île, alors nommée île Bonaventure, en seigneurie à Jacques Bizard. Cette date marque le début de l'histoire de l'île Bizard. (source Wiki).